Les réservoirs d'essence | | . |
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Mardi 24 avril | Equipement des réservoir avec les embouts pour les durits d'essence Il faut d'abord passer un fil de fer par le petit trou qui accueillera l'embout et le faire ressortir par le trou du bouchon, voilà, c'est fait!! |
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Une fois le fil de fer passé dans le réservoir, on enfile l'embout sur le fil de fer | . |
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On fait un noeud derrière pour pouvoir le tirer... | . |
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Et Hop! on le fait ressortir par le petit trou | . |
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C'est pas toujours évident d'arriver à choper le fil de fer...! | . |
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On visse l'écrou après avoir mis de la Loctite 243 | . |
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On laisse de côté les réservoirs vu qu'on a une petite idée de modif maison concernant les bouchons. | En effet sur l'installation d'origine, les deux bouchons ressortent carrément de l'extrados de l'aile, provoquant bien sur une traînée et des turbulences. De plus, les bouchons étant vraiment du matos de base, il peut y avoir des fuites si ils sont trop serrés. .Nous étudions donc la possibilité de mettre des bouchons aéronautiques qui seront installés à fleur de l'extrados, sans donc provoquer de traînée parasite. A suivre.... |
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Mercredi 25 avril | Tout bien réfléchi, nous allons monter les réservoirs comme prévu dans le manuel. La modification au niveau des bouchons pose beaucoup de problèmes, surtout au niveau de la mise à l'air qui parait compliquée à mettre en oeuvre tels que sont conçus les réservoir. Sur la prochaine machine, c'est sur qu'on fera plein de modifications, mais là, restons dans la normalité, c'est déjà assez compliqué comme ça. Sur la photo on vérifie l'étanchéité des piquages freinés à la Loctite. |
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Installation du réservoir dans l'aile | Là on est sur le réservoir gauche, le plus compliqué car c'est lui qui comporte une jauge visuelle constituée d'une durite transparente en rilsan qui joint un piquage haut et un piquage bas sur le côté du réservoir. Le manuel dit de l'installer directement sur le réservoir mais c'est très problématique car la longueur est très juste et les lumières pratiquées dans les nervures pour le passage de la durite ne sont pas en face des sorties du réservoir. Grâce à la photo prise par Dominique à Montélimar, nous constatons que le montage n'a pas été fait comme cela. Deux grosses durites noires sont installées sur les sorties hautes et basses et ensuite on peut connecter le rilsan sans difficulté car on travaille dans le premier caisson qui est accessible. |
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On continue l'installation | Il faut, à la fois mettre le réservoir dans son logement, glisser les pattes d'attache entre le longeron et l'intrados, faire coïncider le bouchon avec la lumière prévue sur l'extrados, brancher les deux petites durites de la jauge et la grosse durite d'alimentation, mettre en place les deux écrous fixant les pattes avec de la Loctite. |
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Avant de fermer définitivement l'aile nous faisons un essai d'étanchéité des raccords d'essence | On rempli le réservoir avec 5 litres d'essence, apparemment il n'y a aucune fuite. |
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On peut donc riveter la trappe du réservoir | La grosse traverse qui soutient le réservoir possède deux rivets plats indépendant pour la maintenir en cas de démontage de la trappe. |
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Mise en place du bouchon | Il faut y mettre le clapet de mise à l'air freiné à la Loctite et passer le tube rilsan de mise à l'air à travers l'aile par les deux passe-paroi en caoutchouc. D'ailleurs il vaut mieux faire ça avant d'installer le réservoir, au moins on a accès à l'intérieur de l'aile par les lumières des nervures. L'aile gauche est terminée, il faudra juste brancher le tube jauge rilsan sur les deux durites avant de l'accrocher au fuselage. |
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Vendredi 27 avril | On été partis pour se terminer l'aile droite, mais, une réflexion tout à fait judicieuse de Dominique nous fait ajourner cette décision. En effet, quand on a mis la petite trappe de visite jouxtant l'attache des haubans, il y a eu un foirage d'un écrou prisonnier (serti) et la vis introduite dans le dit écrou s'est coincée et a fait jouer l'écrou dans son logement. Donc il faut maintenant percer cette vis pour l'éliminer et pouvoir chasser l'écrou défectueux. Le hic c'est que l'écrou tombe évidemment dans le caisson de l'aile qui est inaccessible, et qu'il faut trouver une solution pour l'en sortir. La seule voie d'accès s'ouvrant à partir du logement du réservoir, il nous faut passer par là pour faire sortir cet écrou. On essaye donc le coup de l'aspirateur, mais rien n'y fait, notre écrou demeure imperturbablement dans son caisson bien au chaud.
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Il nous faut alors employer les grands moyens et appeler des renforts. | Un petit coup de fil à Rémi et, une heure plus tard, nous sortons l'aile et la secouons dans tous les sens pour faire sortir notre écrou récalcitrant par le logement du réservoir. La méthode s'avère fructueuse puisqu'après de multiples convulsions, l'accouchement se produit enfin, assisté par le docteur Rémi et son assistante Julie. |
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Le professeur Dominique nous prodigue ses conseils... | Suivant par ses palpations expertes, la progression de l'écrou dans les entrailles de l'aile. |
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Nous voilà donc débarrassé de l'écrou et en prime de deux petites têtes de rivets. | Pour fêter l'évènement nous faisons péter une roteuse bien méritée en compagnie de nos deux renforts |
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Samedi 28 avril | Finition sur l'aile droite. Installation du réservoir |
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Patte d'attache du réservoir | . |
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Juste avant de refermer l'aile | . |
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Voilà, les deux ailes sont terminées et rangées sur leur bers | . |
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On a rapatrié le fuselage postérieur dans l'atelier | Il n'y a plus qu'à lui coller le reste du fuselage, ça a l'air assez coton d'après les premières pages du chapitre. Toujours aussi bien expliqué et détaillé...Je sens qu'on ne va pas s'ennuyer. |
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